Le travail d'un personnage s'achève lorsque je mets les poils aux yeux. Il me semble qu'il était grand temps que vous le sachiez.
Je voulais aussi souligner le fait que la métamorphose me fascine.
"On ne se débarrasse pas d'une habitude en la flanquant par la fenêtre ; il faut lui faire descendre l'escalier marche par marche" écrivait Twain.
Alors, je sais, je sens, je pressens que la parfaite illustration de cette citation eut été un travers (mariné dans le miel et les épices) descendant un escalier, mais la chrysalaine m'a paru (oui, je sais c'est saugrenu) plus appropriée.
Et hop, un gros plan en plus, histoire de voir qu'elle n'est pas dans le flou ;)
Quel beau papillon sirène... il ne lui manque que ses futures ailes... mais je ne doute pas que tu lui en fabriqueras un jour... bisous de Prudence
RépondreSupprimerMerci Prudence. Euh, je ne pense pas que je lui ferai des ailes, j'aime l'idée quelles sorte juste comme ça, plus proche d'un être humain que d'une fée... Je ne l'ai pas imaginée avec nageoire non plus. J'aime dans la métamorphose surtout l'idée d'un repli pour changer ;)
Supprimermoi elle me fait penser à la petite sirène
RépondreSupprimerElle a le visage rieur, je trouve ma chrysalaine, la petite sirène d'Andersen, je ne pourrais l'imaginer qu'avec un air de tristesse... Même si j'aime l'idée de l'écume du conte...
SupprimerOOOOOHHHHHH !!! La naissance d'une petite merveille !!! C'est fascinant, plein de rêve et de douceur !!! J'adore !!!!! C'est génial !!! Bravo bravo Marie Ochka !!!
RépondreSupprimerMERCI !!! Je sais pas quoi dire devant tant de compliments !!! Des bises et des rebises !!
Supprimer