Marie Ochka, artiste feutrière, cultive entre les épines de la vie (et parfois de son jardin aussi) de la laine et des mots...

Tous droits réservés http://marieochka.fr/

mardi 10 septembre 2013

Machine à broyer les nuages

Il pleut, j'ai repensé à ma visite de l'écomusée de Fourmies, le jour de mon anniversaire. Je m'étais dit alors, qu'il y avait là le terrain pour toute une aventure... C'est là-bas que j'ai imaginé le lien entre la sirène qui pêche les étoiles et le pâtre (il l'aperçoit un jour d'insomnie parce que son troupeau disparait petit à petit, y'a pas de grand méchant loup dans le ciel)


J'y repense aujourd'hui car je devais faire le pendant masculin à ma chrysalaine, mais je n'aurais pas assez de laine. J'attends une réponse du fournisseur...
En patientant, je cherche une idée pour me remettre à l'ouvrage sans cette laine, mais mon esprit s'égare ailleurs : je ne peux pas m'empêcher de me demander ce qu'il se passerait si je collais de la laine dans ma machine à pâtes !
Oui, je sais, j'ai des idées saugrenues. Car si dans le ciel, il m'est impossible d'imaginer de loup mangeant le troupeau de nuages, je ne vois aucun problème pour y trouver une machine à pâtes géantes broyant les nuages. Ben, vous expliquez la pluie comment, sinon ?

- Pourquoi n'y a-t-il pas d'avantage de précipitations en Italie ?
- Mais à cause de la sauce tomate pardi ! Et à cause de l'huile d'olive un peu aussi ;)

Euh, oui, oui, je vais bien, j'ai juste consommé un café et une brioche aux raisins glacée au rhum ce matin.

2 commentaires:

  1. Mais oui, mais c'est bien sûr voilà donc l'origine de la pluie : la machine à broyer les nuages !!! Super cette idée ! L'essoré-jeté quoi !!! :-D

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Un plop, dû, j'imagine au fait d'être en pourparler avec une éditrice. J'ai recouvert de terre, ça germera peut-être au printemps ;)

      Supprimer