Ich weiß nicht, was soll es bedeuten, Daß ich so traurig bin, Ein Märchen aus uralten Zeiten, Das kommt mir nicht aus dem Sinn. Die Luft ist kühl und es dunkelt, Und ruhig fließt der Rhein; Der Gipfel des Berges funkelt, Im Abendsonnenschein.
Die schönste Jungfrau sitzet Dort oben wunderbar, Ihr gold'nes Geschmeide blitzet, Sie kämmt ihr goldenes Haar, Sie kämmt es mit goldenem Kamme, Und singt ein Lied dabei; Das hat eine wundersame, Gewalt'ge Melodei.
Den Schiffer im kleinen Schiffe, Ergreift es mit wildem Weh; Er schaut nicht die Felsenriffe, Er schaut nur hinauf in die Höh'. Ich glaube, die Wellen verschlingen Am Ende Schiffer und Kahn, Und das hat mit ihrem Singen, Die Loreley getan.
Ben heureusement que Google traduit aussi pour moi ;) Oui, on se fracasse souvent sur les charmes apparents et envoutants des illusions. Voilà pourquoi cette sirène est palpable, douce et muette. A défaut d'avoir été réduite en écume, leurrée par un séducteur, elle nage dans les nuages, mais chut, ce n'est même pas dans mon dernier manuscrit, ni le second, ni le troisième, le quatrième sans doute...
Ah ma chère Brigou, peut-on regarder le monde avec l'intelligence du cœur et de l'esprit sans être mélancolique à certaines heures ? Il me semble que c'est une belle chose que cette tristesse que seuls le rêve et l'imaginaire allègent et métamorphosent en douces merveilles...
Ich weiß nicht, was soll es bedeuten,
RépondreSupprimerDaß ich so traurig bin,
Ein Märchen aus uralten Zeiten,
Das kommt mir nicht aus dem Sinn.
Die Luft ist kühl und es dunkelt,
Und ruhig fließt der Rhein;
Der Gipfel des Berges funkelt,
Im Abendsonnenschein.
Die schönste Jungfrau sitzet
Dort oben wunderbar,
Ihr gold'nes Geschmeide blitzet,
Sie kämmt ihr goldenes Haar,
Sie kämmt es mit goldenem Kamme,
Und singt ein Lied dabei;
Das hat eine wundersame, Gewalt'ge Melodei.
Den Schiffer im kleinen Schiffe,
Ergreift es mit wildem Weh;
Er schaut nicht die Felsenriffe,
Er schaut nur hinauf in die Höh'.
Ich glaube, die Wellen verschlingen
Am Ende Schiffer und Kahn,
Und das hat mit ihrem Singen,
Die Loreley getan.
Heinrich Heine
Ben heureusement que Google traduit aussi pour moi ;)
RépondreSupprimerOui, on se fracasse souvent sur les charmes apparents et envoutants des illusions. Voilà pourquoi cette sirène est palpable, douce et muette. A défaut d'avoir été réduite en écume, leurrée par un séducteur, elle nage dans les nuages, mais chut, ce n'est même pas dans mon dernier manuscrit, ni le second, ni le troisième, le quatrième sans doute...
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RépondreSupprimerC'est gentil de chanter pour elle ;)
SupprimerTa douce sirène me fait penser à ces quelques vers de Verlaine :
RépondreSupprimer"Il pleure dans mon coeur
Comme il pleut sur la ville ;
Quelle est cette langueur
Qui pénètre mon coeur ?"
Le ciel tombe en morceaux et la mélancolie s'installe ce matin !!
Ah ma chère Brigou, peut-on regarder le monde avec l'intelligence du cœur et de l'esprit sans être mélancolique à certaines heures ? Il me semble que c'est une belle chose que cette tristesse que seuls le rêve et l'imaginaire allègent et métamorphosent en douces merveilles...
SupprimerPause (pose) musicale pour le douce sirène dans la bibliothèque des nuages ...
RépondreSupprimer♥ ♥ ♥
Eh oui. De la laine, de la musique et des livres, c'est un peu plus que le début du bonheur ça, dis donc ;)
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